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Un spectacle d’une beauté singulière qui donne à voir la magie du mouvement, suivi de « Une dernière solitude », spectacle collaboratif avec des danseurs amateurs locaux. Cie Lamento / Sylvère Lamotte
Ruines : Dans un espace où le temps semble comme suspendu, deux corps se portent, luttent et s’élèvent dans une lenteur maîtrisée à la perfection. Accompagnés par une musique aux inspirations orientales jouée en live, les danseurs traversent tous les états de la passion : mystique, sauvage, sensuelle, destructrice… Les visages s’animent, se tordent et grimacent. Les mouvements des corps interrogent l’origine de la beauté avec une gestuelle épurée et puissante. Le geste est-il beau dans son essence ou est-ce notre regard qui sublime le réel ?
Dans cette pièce fondatrice de sa compagnie, Sylvère Lamotte, artiste associé de La Maison, met en lumière le lien inextricable entre violence et beauté. Puisant dans les techniques de lutte moderne, le duo formé par Jérémy Kouyoumdjian et Sylvère Lamotte est inspiré des arts martiaux mixtes et du free fight, mêlant coups de pied, coups de genou et techniques de projection. La musique est au cœur de cette réflexion, et confronte la douceur à la brutalité.
La dernière solitude : Pour cette pièce, Sylvère Lamotte retourne à un sujet qui l’accompagne depuis ses débuts, la peinture. S’inspirant de tableaux du Caravage et de la peinture italienne, La dernière solitude est pensée comme une grande fresque sensible. Tout en clair-obscur. Ici les corps s’enfoncent dans le chemin de ce qui constitue le beau et le terrible, le rouge et le noir. La dernière solitude est une aventure qui convoque une troupe intergénérationnelle de danseurs et danseuses amateurs de la Nièvre. En la mettant en regard à sa première pièce Ruines (créée en 2014), Sylvère Lamotte entend tisser un lien entre ce qui résonne du passé et les corps présents sur scène. Il poursuit l’intuition que la visite des ruines de Pompéi a plantée en lui : existe-t-il des ruines de corps ?
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