
Musée de la Faïence et des Beaux - Arts Fréderic Blandin
Installé sur les vestiges de l’ancienne abbaye Notre-Dame, le Musée de la Faïence et des Beaux-Arts se singularise par ses collections uniques réalisées à Nevers dès le XVIe siècle : il s’agit d’une part de la faïence de Nevers, et d’autre part des verres émaillés.
Les amoureux des Beaux-Arts trouveront aussi de quoi satisfaire leur curiosité, avec objets d’art et tableaux de maître.
Informations pratiques
Adresse
Musée de la Faïence et des Beaux - Arts Fréderic Blandin
16 rue Saint Genest 58000 Nevers
Contact
+33 (0)3 86 68 44 60
museedelafaience@ville-nevers.fr
Accès
Mobilité réduite
Accueil des personnes à mobilité réduite par les jardins du musée
Reception for disabled people by the museum gardens
Horaires
Ouvert du mercredi au lundi de 10h à 13h et de 14h à 18h
Fermeture le mardi
The museum is open from wednesday to monday, 10am to 1 pm / 2pm to 18pm
Closure on tuesday
Services

Visite du Musée de la Faïence :
Tarifs de visite du Musée de la Faïence et des Beaux-Arts de Nevers :
– visite libre: 8€ plein tarif / 4€ tarif-réduit (bénéficiaires minimas sociaux et demandeurs d’emploi, personnes à mobilité réduite et son accompagnant, visite libre pour un groupe de plus de 10 personnes, amis du musée, amis et auditeurs du Louvre, amis de Sèvres, détenteur carte CNAS)
– gratuité: moins de 25 ans, étudiants et apprentis, professionnels de la culture, enseignants, journalistes
– gratuité du musée le 1er dimanche du mois
– gratuité des espaces du rez-de-chaussée (Micro-Folie, jardins, salles d’expositions temporaires)
€ 8 full price / € 4 reduced rate
Free entrance every fisrst sunday of the month
Free for students and visitors under 25 years old
La donation Bossuat
Entre Peinture Moderne et Art Nouveau
Natif de la Nièvre, Victor Bossuat (1873-1948) et son épouse Marguerite (décédée en 1945) ont largement contribué à enrichir le Musée de Nevers dans le domaine de la peinture de la première moitié du XXe siècle, et des verreries et céramiques Art Nouveau.
Pharmacien à Paris, il fréquente très tôt le cercle intellectuel de la Revue Blanche, autour du critique et littérateur Félix Fénéon. Bibliophile, il apprécie les estampes de Jean-Émile Laboureur. Mais c’est dans le domaine de la peinture et du dessin qu’il fera les achats les plus spectaculaires, souvent conseillé par son épouse : une toile et deux lavis de Vlaminck, des dessins de Seurat, Derain, Modigliani, des peintures de Kisling, Utrillo, Valadon, Goerg, un bel ensemble d’œuvres de Gromaire. Une vraie cohérence se dégage de ces choix : restés prudemment à l’écart du cubisme ou de l’abstraction, les Bossuat privilégient une “figuration moderne”, autour de la première École de Paris, d’un expressionnisme “à la française”, ou encore d’indépendants à la personnalité marquée comme Pierre Hodé ou Louis Péronne. Verreries et céramiques, presque naturellement, ont intégré au fil des ans les vitrines et crédences de la belle villa du couple, sur les hauteurs de Montmorency. Du Japonisme (un exemplaire du service Rousseau, Félix Bracquemond pour Creil & Montereau, 1867) à l’Art Nouveau de l’École de Nancy (Gallé, Daum), en passant par un service à thé d’André Methey décoré par Vlaminck.
English :
A native of Nièvre, Victor Bossuat (1873-1948) and his wife Marguerite (died in 1945) greatly contributed to enrich the Museum of Nevers in the field of painting from the first half of the 20th century, and glassware and ceramics Art New. Pharmacist in Paris, he frequented the intellectual circle of the Revue Blanche very early on, around the critic and literator Félix Fénéon. Bibliophile, he appreciates the prints of Jean-Émile Laboureur. But it was in the field of painting and drawing that he made the most spectacular purchases, often recommended by his wife: a canvas and two washes by Vlaminck, drawings by Seurat, Derain, Modigliani, paintings by Kisling. , Utrillo, Valadon, Goerg, a fine collection of works by Gromaire. A real coherence emerges from these choices: carefully kept away from cubism or abstraction, the Bossuats favor a “modern figuration”, around the first School of Paris, of an expressionism “à la française”, or even independent with a marked personality such as Pierre Hodé or Louis Péronne. Glassworks and ceramics, almost naturally, have integrated over the years the windows and splashbacks of the couple’s beautiful villa, on the heights of Montmorency. From Japonisme (a copy of the Rousseau service, Félix Bracquemond for Creil & Montereau, 1867) to Art Nouveau from the School of Nancy (Gallé, Daum), including a tea service from André Methey decorated by Vlaminck.
Les arts décoratifs du Musée de la Faïence
Dans les espaces qu’offre l’ancien hôtel particulier Roussighnol, l’aménagement cherche à donner l’idée d’un salon du XVIIIesiècle. Autour d’un bureau plat estampillé de Pierre-Antoine Veaux (1738-1784), sont disposés fauteuils, commodes ou petite table, tous meubles du même siècle, qui ne se sont pas obligatoirement côtoyés dans la réalité. Un buste en terre cuite, La Belle Inconnue, attribuée à l’atelier d’Etienne Maurice Falconnet agrémente une commode comme cela pouvait se voir à l’époque. Au mur, une large place est faite à la peinture à sujet mythologique qui domine alors : Alceste rendue à son époux par Hercule, tableau de Charles-Antoine Coypel en est une parfaite illustration. Dans une vitrine, on retrouve des émaux, des ivoires mais également des pièces en verre notamment de Venise, des instruments de calcul et des médaillons du sculpteur italien Jean-Baptiste Nini (1717-1786).
Pour le XVIIe siècle, la peinture étrangère est dignement représentée qu’il s’agisse de dépôt de l’Etat ou de dons généreux. Tous les genres figurent dans les collections, de la nature morte, au portrait en passant par la marine. Ces tableaux de petit format ont été réalisés pour des commandes privées et étaient destinés à orner salons, ou chambres à coucher. C’est pourquoi, ces quelques tableaux sont suspendus aux murs d’un espace à dimension domestique, meublé de pièces d’époque : armoire, bureau, sièges divers, console.
Dans une vitrine, une sélection d’objets décoratifs ou d’usage viennent compléter l’ensemble. Plusieurs émaux de Limoges, témoins de la grande période de cette technique sont présentés, comme cette tête de Saint Pierre attribuée à Jean Reymond (XVe-XVIIe siècle) ; des ivoires mais également des objets plus courants comme cette pile de poids de Nuremberg.
Tout cela veut rappeler au visiteur la contemporanéité de certaines productions, afin de donner une idée, une atmosphère du siècle concerné. Il s’agit plus de laisser l’empreinte de l’ambiance qui pouvait régner dans un intérieur bourgeois de province, que de reconstituer à l’identique un appartement de prestige.
English :
In the spaces offered by the former Roussighnol mansion, the layout seeks to convey the idea of an 18th century living room. Around a flat desk stamped by Pierre-Antoine Veaux (1738-1784), are arranged armchairs, chests of drawers or a small table, all pieces of furniture from the same century, which did not necessarily come together in reality. A terracotta bust, La Belle Inconnue, attributed to the studio of Etienne Maurice Falconnet adorns a chest of drawers as could be seen at the time.
On the wall, a large place is given to the painting with a mythological subject which dominates then: Alceste returned to her husband by Hercules, painting by Charles-Antoine Coypel is a perfect illustration of this. In a showcase, we find enamels, ivories but also glass pieces, especially from Venice, calculating instruments and medallions by the Italian sculptor Jean-Baptiste Nini (1717-1786). For the 17th century, foreign painting is worthily represented whether it is a deposit of the state or generous donations.
All genres are included in the collections, from still life to portrait and navy. These small format paintings were made for private orders and were intended to adorn living rooms, or bedrooms. This is why these few paintings are hung on the walls of a space with a domestic dimension, furnished with period pieces: wardrobe, desk, various seats, console. In a display case, a selection of decorative or customary objects complete the set.
Several Limoges enamels, witnesses of the great period of this technique are presented, such as this head of Saint Peter attributed to Jean Reymond (15th-17th century); ivories but also more common objects like this pile of weights from Nuremberg.
All this wants to remind the visitor of the contemporaneity of certain productions, in order to give an idea, an atmosphere of the concerned century. It is more a question of leaving the imprint of the atmosphere that could reign in a bourgeois provincial interior, than of reconstituting an identical prestigious apartment.
Les verres émaillés de la Faïence de Nevers
La collection de verre émaillé déposée par le musée du Louvre au musée de Nevers est présentée dans son intégralité et accompagne la collection réunie préalablement par les donateurs du musée. Constituée de 290 pièces aux formes et dimensions variées, elle permet la redécouverte de cet art très particulier qui est apparu à Nevers à la fin du XVIe siècle et dont le savoir-faire a aujourd’hui perdu. Il s’agit d’une des plus importantes collections de verre émaillé en Europe.
Figurines et boites ornées racontent l’histoire locale liée à la production de verre émaillé, mais aussi les croyances et dévotions populaires, les préoccupations des hommes de cour des XVIIe et XVIIIe siècles. Le mystère demeure sur la date réelle de la première apparition de ces figurines, dites figures d’émail. La particularité des figures d’émail fabrique selon la technique de Nevers, est un noyau en verre plus intense ou bien un squelette constitué d’un fil de fer tire-bouchonné d’un fil de cuivre de la finesse d’un cheveu. Sur ce bâti sont agencés en volumes successifs des bâtons de pâte de verre opaque colore, appelés canons ou mailles qui sont fabriqués à la Verrerie Royale de Nevers. Tapissée de cette multitude de boites ornées, la salle qui leur est consacrée sera un lieu féérique de lumières et de couleurs chatoyantes pour petits et grands.
Cette collection réunissant un nombre considérable de figurines profanes et religieuses offre un foisonnement de sujets et de forme, reflet de la créativité et de l’adresse des maitres émailleurs durant deux siècles et demi. En 1848, le dernier maitre émailleur de Nevers offre sa lampe au musée de Nevers et entre comme agent aux écritures pour la Commune.
Malgré les essais pratiques pour retrouver cet artisanat, personne encore aujourd’hui n’est capable de réaliser des poupées de verre si précieuses dans leur matière et leur forme.
English :
The collection of enamelled glass deposited by the Louvre at the Nevers museum is presented in its entirety and accompanies the collection assembled beforehand by the museum’s donors. Made up of 290 pieces in various shapes and sizes, it allows the rediscovery of this very particular art which appeared in Nevers at the end of the 16th century and whose know-how has now been lost. It is one of the most important collections of enameled glass in Europe.
Figurines and ornate boxes tell the local history linked to the production of enameled glass, but also popular beliefs and devotions, the concerns of courtiers of the 17th and 18th centuries. The mystery remains on the real date of the first appearance of these figurines, known as enamel figures. The peculiarity of the enamel figures made using the Nevers technique is a more intense glass core or a skeleton made of a wire corkscrew with a copper wire the fineness of a hair. On this frame are arranged in successive volumes of sticks of opaque colored glass paste, called cannons or meshes which are manufactured at the Royal Glassworks of Nevers. Covered with this multitude of decorated boxes, the room dedicated to them will be a magical place of lights and shimmering colors for young and old.
This collection, bringing together a considerable number of secular and religious figurines, offers an abundance of subjects and forms, a reflection of the creativity and skill of master enamellers for two and a half centuries. In 1848, the last master enameller of Nevers offered his lamp to the Nevers museum and entered as a clerical agent for the Municipality. Despite practical attempts to find this craft, no one even today is capable of making glass dolls so precious in their material and shape
La Faïence de Nevers
La superbe collection de faïence est dévoilée dans la salle située au 2e étage du musée. Sur une surface de 220 m2, pièces majeures et réalisations moins connues sont réparties dans des vitrines qui abordent chronologiquement les différents décors et l’évolution des styles. On y découvre ainsi une superbe collection de plats d’ornement, de coupes, de bouteilles, d’aiguières, de carreaux, de plaques décoratives et de statues. En prolongement de celle-ci, une salle des techniques présente les étapes de fabrication de la faïence en exposant un tour de faïencier ainsi que des objets servant au travail de la terre et à l’émaillage. Une vidéo révèle en image les phases successives de la création en atelier.
Spécialistes, amateurs ou néophytes, petits et grands, tous pénètrent dans l’univers de la faïence pour découvrir ses secrets de fabrication et son histoire.
Au dernier étage, dans l’ancienne galerie des peintures du XIXe siècle, d’une longueur de 37 mètres, un nouvel aménagement muséographique présente des pièces du XVIIIe siècle à nos jours. Notamment des objets de taille monumentale. Parmi ces œuvres, des faïences provenant du fonds Montagnon exécutées à la manufacture « Le Bout du Monde ».
A travers ce parcours, le visiteur découvre ce que la création faïencière a offert en diversité et qualité durant quatre siècles.
English :
The superb collection of earthenware is unveiled in the room located on the 2nd floor of the museum. Over an area of 220 m2, major pieces and lesser-known achievements are distributed in showcases that chronologically address the different decorations and the evolution of styles. We thus discover a superb collection of ornamental dishes, cups, bottles, ewers, tiles, decorative plaques and statues.
As an extension of this, a technical room presents the steps in the manufacture of earthenware by exhibiting a tower of earthenware as well as objects used for working the earth and enamelling. A video reveals in images the successive phases of creation in the workshop. Specialists, amateurs or neophytes, young and old, all enter the world of earthenware to discover its manufacturing secrets and its history.
On the top floor, in the old gallery of 19th century paintings, 37 meters long, a new museum layout presents pieces from the 18th century to the present day. In particular objects of monumental size. Among these works, earthenware from the Montagnon collection made at the “Le Bout du Monde” factory. Through this route, the visitor discovers what earthenware creation has offered in diversity and quality over four centuries.
Les jardins du Musée de la Faïence et des Beaux-Arts
Le jardin du Musée de la Faïence se présente sur différents niveaux. Très aéré il est propice aux promenades ressourçantes. De nombreux parterres de fleurs à thème sont exposés à la vue des visiteurs : les ensorceleuses dont la verveine utilisé jadis pour éloigner le mauvais œil et l’absinthe, les guérisseuses avec le millefeuille sensé avoir des vertus cicatrisantes et le millepertuis qui, quant à lui soigne les brûlures et les piqûres. Ou encore les coquettes avec la rose et et la violette.
Des expositions temporaires sont également organisées. Le jardin est accessible via la promenade des remparts, la rue Saint-Genest ou depuis le musée pendant les heures d’ouverture de celui-ci.
Histoire du musée de la faïence et des beaux-arts
C’est dans un cadre rénové et agrandi que le Musée de la Faïence et des Beaux-arts accueille les visiteurs depuis 2013. Dans un écrin architectural restauré, allant du Moyen-âge jusqu’au XIXe siècle, le musée, qui a reçu le label « Musée de France » grâce à la richesse de ses collections offre un parcours dans 13 salles : on peut y découvrir la faïence de Nevers bien sûr, mais aussi les verres émaillés, autre spécialité de la ville. Plusieurs espaces sont aussi consacrés à la peinture nivernaise, la peinture du 20e siècle ainsi qu’aux arts décoratifs… À cela, il faut rajouter deux salles voutées consacrées aux expositions temporaires.
C’est en 1844 que commence l’histoire du musée, installé dans une salle de la bibliothèque municipale, sous l’impulsion du maire de Nevers Jean Desvaux. Les collections s’enrichissent peu à peu de dons de citoyens. En 1847, Jacques Gallois, collectionneur avisé, vend symboliquement sa collection à la ville et devient conservateur du premier musée jusqu’à sa mort en 1852. Cette acquisition constitue encore aujourd’hui un apport majeur pour le musée, puisqu’elle comprend des chefs d’œuvre comme la Vierge à la Pomme ou la plaque d’ivoire « l’adoration des mages ». En 1907, Frédéric Blandin, banquier et ancien manufacturier de faïence, offre à la Ville la somme nécessaire pour acheter le Palais épiscopal et y installer le musée. Ainsi, entre 1914 et 1919 ce nouveau musée reçoit toutes les collections sauf les objets archéologiques. Louis Mohler, architecte et aquarelliste, est chargé de leur gestion par le Ministre de l’Instruction Publique.
À sa mort en 1934, vingt-trois salles sont aménagées. Le musée s’est enrichi de plusieurs dons, legs et achats.. Lorsque la seconde guerre mondiale éclate, l’établissement compte vingt-cinq salles. À la Libération, les bâtiments du musée accueillent les élèves du lycée détruit en 1944. Les collections restent dispersées sans lieu de présentation. Il faut attendre 1960 pour qu’un conservateur professionnel soit recruté et ce n’est que dans les années 1970, que l’abbaye Notre-Dame est choisie pour y installer le musée. Située au sein du quartier des faïenciers et à proximité de celui des émailleurs de verre, le lieu est idéal pour la mise en valeur du patrimoine artistique de la ville. Après plusieurs réaménagements modestes, le Musée de la Faïence agrandi et embelli rouvre ses portes en septembre 2013.
Location / Privatisation du Musée de la Faïence
Le Musée de la Faïence et des Beaux-Arts offre à des entreprises, institutions, associations… la possibilité d’organiser des événements privés (assemblées générales, séminaires, conférences, cocktails, dîners, soirées de prestige, ou encore visites privées). Ses espaces privilégiés sont alors ouverts en dehors des heures d’ouverture au public, permettant de valoriser une action de communication en associant le prestige d’un lieu d’exception
Conditions d’accès
Le musée propose à la location des salles du rez-de-chaussée pour accueillir des séminaires, colloques et réceptions, mais aussi les jardins du musée à la belle saison et la salle Jean-Pierre Harris, où se déroulent notamment les expositions temporaires (sous réserve d’exposition avec occupation totale de la salle).
Les associations, collectivités, établissements publics, entreprises, comités d’entreprises peuvent prétendre à une location dans le cadre de « soirées ».
Les particuliers ne peuvent pas y prétendre.
Démarches
Toute demande de location se fait par convention avec obligation d’assurance. Le personnel du musée ainsi qu’un service gardiennage est obligatoire lors de ces soirées.
Salles et lieux mis à disposition
Salle Jean-Pierre Harris (capacité de 90 personnes maximum)
Salles du rez-de-chaussée
Jardins du musée
Plus d’informations / Tarifs
Jardins du Musée + visite : 850 €
Salle Jean-Pierre Harris + visite : 1 800 €
Salle Jean-Pierre Harris + jardins + visite : 2 500 €
Micro-Folie au Musée de Faïence
N’attendez plus, Micro-Folie est arrivée à Nevers ! Une expérience unique qui vous fera vivre l’art autrement.

Le concept de la « Micro-Folie » vous propose de découvrir les chefs-d’œuvre des plus grands musées nationaux. Grâce aux différents dispositifs, vous pourrez expérimenter l’art comme vous ne l’avez jamais fait.
Musée numérique : des tablettes connectées à un écran géant vous permettront d’en apprendre plus sur les œuvres que vous aurez choisi.
Réalité virtuelle : profitez d’une expérience immersive grâce à la technologie de réalité virtuelle, et découvrez les plus grandes œuvres de manières totalement inédites.
Atelier : des ateliers autour des œuvres et du dispositif Micro-Folie sont régulièrement dispensés. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter l’agenda culturel ou contacter les équipes pédagogiques du musée.
Pour en savoir plus sur Micro-Folie, consultez la présentation Micro-Folie en cliquant ici
Médiation au Musée de la Faïence
La médiation du Musée cible un public scolaire et extra- scolaire par le biais de la mise à disposition de ressources pédagogiques, de visites et ateliers s’inscrivant dans un programme et permettant d’exploiter des thèmes variés en lien avec les apprentissages de la maternelle à l’Université. Mais aussi d’informer les réseaux de l’Education Nationale, de dialoguer avec les enseignants porteurs de projets, de participer à la formation initiale et continue des enseignants, de contribuer à la réflexion méthodologique du secteur éducatif aussi bien que du musée lui-même.
La médiation s’adresse également à un public élargi avec la mise en place de visites ou d’animation adaptées aux visiteurs individuels, aux groupes adultes, aux associations, aux familles, aux personnes à mobilité réduite…
Pendant les vacances scolaires, aux rythmes des expositions temporaires, des visites/ateliers liés au travail de la terre ou d’initiation à l’aquarelle sont proposés à tous les enfants.
Vous pouvez nous solliciter pour préparer votre venue en visite libre ou en vous laissant guider par les médiateurs qui vous présenteront les collections de faïence, de verres émaillés, de peintures et vous permettront de rentrer dans un ensemble de bâtiments chargés d’histoire.
Contact : agathe.maugis@ville-nevers.fr