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Malik Djoudi revient sur scène avec son troisième album, tout en simplicité et en justesse.
La musique, Malik Djoudi l’apprivoise depuis l’enfance. Très tôt, il compose pour le petit et le grand écran, avant d’écrire pour lui-même, en manipulant les tonalités et les rythmes électro qu’il affectionne. De sa créativité ont éclot deux albums, Un, en 2017, suivi de Tempérament, deux ans plus tard, pour lequel il remporte une Victoire de La Musique l’année suivante. Aujourd’hui, il présente à La Maison son nouvel album Troie, comme le troisième, comme le cheval antique qui appelle à la contre-attaque. Troie comme une bataille menée de front contre l’isolement forcé, qui a failli avoir raison de son inspiration.
Du cœur et des tripes pour cet album où les chansons, souvent introspectives, s’imposent avec une évidence naturelle. En gardant une trame intime et sensuelle dans sa musique, les textes restent fidèles à la simplicité de Malik Djoudi. Le chanteur est allé à l’essentiel en composant avec sa basse et sa batterie, se laissant la liberté d’être accompagné sur scène par d’autres instrumentistes. S’entourer, retisser les liens et le partage sont devenus l’oxygène du chanteur qui cherche à rompre avec la solitude imposée. Alors il s’entoure d’interprètes tous plus talentueux les uns que les autres. On peut ainsi savourer le tempo de la jeune Lala Ace, écouter la poésie singulière de Philippe Katerine, ou encore se délecter de la voix d’Isabelle Adjani.
Avec Troie, Malik Djoudi s’offre une victoire sur ses peurs et ses douleurs, et partage avec le public le plaisir d’être à nouveau sur scène.
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