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Un thriller haletant où l’inacceptable et la poésie se sont donnés rendez-vous.
Une maison propre, une cuisine et des petits plats maisons, le linge toujours impeccable… Ève habite la maison qu’elle connait depuis toujours. En vérité, elle n’en connaît que les murs et les fenêtres grillagées. Depuis dix-huit ans, son seul repère, c’est Franck. Il la retient prisonnière comme un oiseau en cage. Mais le temps est venu pour Ève de prendre son envol.
Cette histoire, inspirée du cas de Natasha Kampush, représente un défi de taille pour Sara Giraudeau. Comment mettre en scène et jouer la dernière heure d’une séquestration de dix-huit années ? Car Le syndrome de l’oiseau dépeint cette réalité possible : posséder l’autre, lui confisquer tout horizon et tout envol.
Pour autant, dans cette action de la dernière heure, l’horreur se mêle à l’espoir pour révéler toute la beauté et la puissance de l’instinct de survie. On découvre Ève, qui s’est construite par elle-même, encore intacte dans son innocence enfantine, restée à l’état pure. Et Franck, homme fébrile, esprit torturé dans son besoin de posséder l’autre. Le récit de Pierre Tré-Hardy trouve un équilibre délicat entre l’infamie d’une situation et la sensibilité de ses personnages, tous deux, pétris de contradictions et pourtant poétiques dans leur folie.
Ce tête-à-tête intense fait appel à une forme de beauté profonde qui laisse deviner toute la complexité des émotions humaines.
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